

FOLIO JUNIOR ; 1978 ; 90 p.
25001275
Prenant comme prétexte le danger qu’un pareil homme représentait pour la sécurité mondiale, les polices locales, d’abord, puis les polices et les armées nationales, ensuite les polices internationales, essayèrent de s'en emparer. On offrit des sommes fabuleuses pour sa capture. A condition qu’il fût vivant, car, une fois mort, il n’attirerait peut-être plus l’or.